L’essentialité de l’institution synodale pour l’unité de l’Eglise

‘…dans les premières siècles dans l’Eglise primitive il existait, entre les Eglises locales particulières, la ‘communio. […] la ‘communio’ représente le lien qui réunit les fidèles et en particulier les Evêques d’une seule Eglise.’[1] écrit Daniel Faltin. La communion et l’unité sont les principes essentiels pour la communauté primitive chrétienne. L’ensemble des peuples avec l’évêque et des évêques entre elles constitue l’une vraie Eglise catholique et universelle. Cette communion, qui était exprimé dans les synodes et dans les Conseils Œcuméniques, a sauvegardé l’unité de la foi.

L’Eglise du premier millénaire a succédé de réaliser la désirable unité des peuples de Dieu dans les synodes. Une unité qui n’existe pas au monde chrétienne d’aujourd’hui. Mai il faut toujours souviens que l’unité n’était pas jamais facile d’accomplir. Les divisions des homes existait toujours, mais la vérité du Jésus Christ est une et nous tous sommes Son corps. Comme Olivier Clément dit:Partout le soleil se couche et partout il se lève : il n’y a plus ni Orient ni Occident‚ mais seulement le Dieu qui se fait homme pour que l’homme puisse devenir Dieu.[2]

Nous pouvons basé notre dialogue œcuménique sur l’institution de la synodalité qui était commune pour un millénaire et qui encore existe vivant dans les deux Eglises. Le but du dialogue et ‘ut unum sint’ et il faut travailler sur ce direction. La synodalité nous oblige de prendre sérieusement ce but et nous unie encore une foi devant Dieu.



[1] Daniel Faltin, L’institution synodale dans le concile Vatican II, dans KANON Jahrbuch der Gesellschaft für das Recht der Ostkirchen II, Verlag Herder-Wien, 1974, p. 41

[2] Olivier Clément‚ Les Pères de l’Eglise entre l’Occident et l’Orient‚ dans contacts‚ 1993‚ p.278

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