‘The political thought of the Dutch Revolt’

Martin Van Gelderen

L’auteur prend la base des 800 traités qu’ils étaient publiés aux Pays-Bas de période 1555-1590 pour montrer les principes cardinaux d’une pensée politique de Révolte aux Pays-Bas. En cherchant une raison pour la Révolte il nous montre les privilèges des villes et les droits des bourgeois; par exemple il parle pour la ville d’Antwerp qui était appelé par un auteur Italien de cette époque là une ‘démocratie’! Ces privilèges disaient que chaque citoyen avait le droit d’être jugé à la ville en qu’il habitait et non par le gouvernement central. Il ressemble ces villes aussi comme Polybius écrit dans son histoire y leurs princeps, les nobles et les peuples ont tous une part du le pouvoir.

Quand Philip II a désiré imposer son pouvoir central sur la base d’unité religieuse, ces droits sont devenues un grand obstacle pour lui. L’assignation de l’Inquisition aux Pays-Bas a devenu la plus grande ménace pour les marchands (la majorité étaient Protestants) et pour l’autonomie des villes.

La guerre entre les Espagnols et l’empire Ottoman a donné l’opportunité à Hollande et Zeeland de devenir pays indépendants et de proclamer la liberté religieuse et l’autonomie des villes. Ces deux valeurs sont à la base de la théorie politique hollandaise.

Dans ces villes autonomes les Protestants deviennent un grand parti de la population. La ville Ghent était un très bon exemple. Ils existaient aussi des jeunes qui préféraient de s’unir avec l’Allemagne Calviniste. C’était parce que beaucoup des Calvinistes étaient actives aux Pays-Bas.

La base de la théorie politique de la Révolte est inspirée au Luther. Luther initialement a considéré l’obéissance comme une commande divine. Mais après il a déclaré le droit légitime de résister! Sur ces perceptions les Pays-Bas ont fondé leur théorie politique. Dans les traités le devoir de la puissance, la liberté de la conscience, le droit de désobéissance et les lignes entre les autorités ecclésiastiques et politiques sont apparues d’une manière plus claire.

Les grandes différences entre la Reforme aux Pays-Bas et la Reforme en Allemagne était l’emploi des hérétiques qui n’étaient pas persécutés mais tout au contraire ils étaient tolérés. La liberté était donc la source de la prospérité et à la justice comme une bien commune pour tous les citoyens. Chaque citoyen s’oblige de garder ces privilèges et ces libertés lui-même.

En conclusion, l’idée centrale de la théorie politique des Pays-Bas c’est exprimée dans un vitraux qui nous donne les cinq virtus qui composent la liberté de conscience: l’amour, la justice, la fidélité, la concordance et le purisme. Avec l’assistance de ces cinq virtus la liberté de conscience peut combattre les tyrannies!